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Deuxième album pour ce groupe d’electropop anglais assez méconnu et à tort car leur premier album intitulé sideways, sometimes offrait déja de bien belles pépites indie pop à sa sortie il y a deux ans.

Cette semaine Cymbals sort la suite avec The age of fracture , sorti sur le label Tough love et qui reste sur des terres électroniques et synthpop qui ressemblent un peu à une rencontre en les groupes Foals et Friendly Fire, soit une association qui rend la musique particulièrement addictive et qui provoquent une forte envie d’appuyer sur la touche repeat.

 

Il y a un peu de cette composante de feel good music qui peut raviver un dimanche un peu terne, ou consoler des âmes en dérive avec quelque chose de plus intelligent et racé que de la musique festive qui échouerait dans ce genre d’occasions.

Il y a aussi un petit côté eightes un peu cheap dans certaines sonorités, comme dans cette caisse claire de batterie pleine de reverb du titre empty space, qui nous fait faire un saut en arrière dans le temps  même si elle revient sacrément à la mode depuis quelques temps.

Un peu plus tard dans l’album, on trouve même un peu de l’esprit des groupes New order et de The Cure dans le titre Erosion. The age of fracture est un album qui sait se faire aussi fun que parfois profond, et si certains titres peuvent apparaitre un peu bâclés ou carrément dispensable, il reste une bonne addition à votre discographie indie-pop, aux côtés de vos albums de Metronomy par exemple.

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