On les a découvert ou redécouvert en 2014, on en a parlé sur notre webzine, dans notre émission de radio, ils sont même passés pour certains dans nos soirées à l’international ou à LaPlage de Glazart cet été (Vundabar, Holy Strays, Murmur, Cabuco, Fastlane Candies, The Kitchies, Volage, My Summer Be, MACHI, , Canari, Canyon Comos… ) ou on est allé les chercher sur internet. Ces 38 groupes représentent pour nous le renouveau de la scène indie en France en 2015 !
Vous pouvez écouter cette compilation sur notre bandcamp ou bien la télécharger ici et on vous donne rendez-vous ce samedi 27 Février à l'international pour découvrir en live 2 groupes présents sur cette compile : Banquise et Maine Coon !
EDIT : Cette compilation n'est plus disponible à l'écoute ou au téléchargement.
3somesisters fait le choix d’un nom volontairement impertinent qui interroge, interpelle…
Littéralement "les soeurs qui font ménage à trois" ne sont pas trois mais quatre : trois chanteurs multi-instrumentistes et un guitariste, compositeur et arrangeur, à la genèse du projet.
3somesisters dévoile ses compositions mêlant rythmiques tribales, boutures électroniques et refrains haut perchés après 4 ans de son show de Covers 90’s.
Ouvertes sur le mélange des genres, ces créatures mixent le mainstream et le pointu pour des propositions contrastées et originales. 3somesisters déplace et transgresse les lignes du politiquement correct et annonce la couleur avec les thèmes abordés dans ses chansons.
Derrière des sonorités tendres, Ambrose, dont le nom est inspiré d’un gang de Chicago, délivre des compositions entre douceur et violence. Naviguant entre The XX, Fever ray ou Foals, leur électronique hybride mêle synthétiseurs, guitares et boîtes à rythme. Sur des nappes profondes et des motifs entêtants, deux voix distillent des mélodies accrocheuses et lascives.
Originaire de Lyon, Anton Oak est un artiste multi-instrumentiste : clavieriste, violoncelliste, beatmaker à la voix folk et suave. Il nous livre une musique qui oscille entre mélodies légères et basses primitives et ce, grâce à des contrastes dans lesquels il n'hésite pas à mixer toutes ses inspirations, de la Folk au Hip Hop, du Baroque à l'Electronica.
Backbone :
Les sages racontent souvent cette histoire dans laquelle, Jonus, le barde du village, fit étape dans la forêt de Seteka pour y travailler ses vocalises. A peine eut-il déposé son buffle au sol, que son regard fut attiré par un objet lumineux qui dépassait sous une pierre. Intrigué, il poussa de toutes ses forces pour renverser la pierre mais rien n’y faisait, elle était trop lourde. Il eut alors l’idée de prévenir les bardes des quatre villages aux alentours. Unissant leurs forces, la pierre roula... Immédiatement, la chose, ressemblant mystérieusement à une sorte d’aquarium hypnotique, projeta un rayon lumineux qui entoura leurs cinq corps. Soudain, le ciel s’obscurcit et une voix profonde retentit : « Vous êtes dorénavant liés par le sortilège de Seteka. Vous vous appellerez Backbone et irez écumer toutes les salles de concert qui voudront bien de vous. »
Bagarre est une histoire, un assemblage, une bête hybride. Les clubs de Chicago pour la house music, ceux Détroit pour la techno, New-York City en disco-glam, l’énergie de la New-Wave londonienne, le texte scandé du Hip-hop: Bagarre livre une musique protéiforme, mais pas hexagonale.
Des paroles pour rêver, de la musique pour danser, Bagarre est un groupe hybride qui mène sans concession des textes français oniriques et crus avec un beat électronique festif proche de l’univers du club.
Pop électronique et arty, les quatre bordelais de Banquise sont à eux seuls un dérèglement climatique et musical. Après un premier EP "People Under the Sun", conte des étapes de la nuit, Banquise présente le single "Paintings and Paper", hymne au renouveau et à la danse. Un voyage sous influences, soul music, gloires pop et cadences électroniques, apte à réchauffer les cœurs et les corps !
Heureusement pour les mélomanes, Basile di Manski a raté l'examen du Barreau et survécu à de très graves problèmes pulmonaires.
Il se dégage de cette musique un feeling particulier, comme si Air fricotait avec Ariel Pink sur fonds de paradis perdus et d'italianité.
C’est un truc smooth, triste, baigné de soleil.
Burning Peacocks est un jeune duo parisien formé par Alma Jodorowsky et David Baudart. Alma est chanteuse et actrice.
On la retrouve notamment au côté de Léa Seydoux dans « La vie d’Adèle », palme d’or au dernier festival de Cannes. Elle écrit et interprète les textes du duo.
David, a déjà travaillé avec de nombreux producteurs à Paris. Multi-instrumentiste, il prend en charge toute la partie musicale du groupe. Leur premier EP, nous transporte dans un univers pop psychédélique, parfois mélancolique, entre Beach House et Mazzy Star.
Il est sorti le 13 octobre 2014 chez CHOKE INDUSTRY, label qui a également découvert et produit LILLY WOOD & THE PRICK.
Quartet aigre-douce mêlant absurde et second degré, Cabuco offre un univers haut en couleurs, pétri d'amour et de frontières brisées.
De leur musique résonne un kaléidoscope d’influences où la mélancolie d’une jeunesse en quête d’un ailleurs idéal se distille avec les rythmes de la pop music des années 90. Puiser la jeunesse !
Canari :
Canari, un trio né début 2014 sur les cendres d’une formation afrobeat, autour d’un des guitaristes de Melody’s Echo Chamber. Leur credo, construire des titres pop très libres sur des grooves répétitifs rappelant parfois Can ou Fela et une guitare expressive inspirée du néo-psychédélisme de Unknown Mortal Orchestra ou Tame Impala.
Canyon Cosmos :
Anciennement « Apollo », Canyon Cosmos est un quatuor parisien délivrant une pop onirique entre harmonies vocales et électro cosmique. Mêlant habilement des rythmes tropicaux à des sons organiques et digitaux, ce détonnant mélange est parfait pour ensoleiller une triste journée d’hiver. Ils s’inscrivent dans la lignée de groupes comme Talking Heads ,ELO ,XTC et LCD Soundsystem, pour ce mélange d’éléments foisonnants, combinant musique électronique, synthétiseurs, guitares, boîte à rythmes et samples.
FALABELLA, un nom qui sonne déjà comme une promesse : on dansera la tête dans les étoiles et les pieds accrochés au dancefloor. Bidouilleur infini, Xavier Laporte (Im Takt, Savate) concentre dans ce nouveau projet solo son amour pour la house nébullée, le R’n’B électrique et les rythmes afros aériens. En mélangeant textures analogiques (claviers et boîtes à rythme), instruments traditionnels africains (balafon et kalimba), et mélodies pop, il parvient à faire souffler le chaud et le froid dans ses productions.
Un univers aux contours larges, influencé par des artistes comme Four Tet, James Blake, Mount Kimbie et Caribou, qui vous emporte dans un voyage musical au cours duquel vous danserez aussi bien allongé que debout.
Fastlane Candies :
Les Fastlane Candies, lancés à toute vitesse sur le grand huit de la pop synthétique, ont sorti en 2014 leur premier album « Telenovelas », et travaillent actuellement sur la suite.
Flavien Berger :
Flavien Berger a grandi dans une famille de cinéma. Ces dernières années, il a toutefois étudié le design sonore dans une école de création industrielle. C’est pendant ce temps qu’il développe ses premières expérimentations avec une bande de potes étudiants en art, qui bientôt deviendra le collectif Sin et ira s’installer à Bruxelles.
Ensemble, ils produisent des installations, qu’ils nomment “dream machines”, et puis des projets vidéo dont Flavien compose les bandes originales. Ce rapport entre image et son, cette vision globale de ce que peut être un projet artistique, ce refus de réduire la musique à un discours purement musical, c’est ce qu’on retrouve dans des morceaux à mi-chemin entre Kraftwerk et Sébastien Tellier, les Beach Boys et la pop française 80′s.
GYM :
Ils réussissent l'exercice dfficile de réer du fantasme disco pop pour nos oreillles !
Faisant le grand écart entre Midlake et les Klaxons, le groupe s’inscrit dans la lignée des grands compétiteurs de la pop musique à coups d’arrangements symphoniques, de batteries décomplexées et de textes inspirés.
Holy Strays :
Nom de plume de Sebastien Forrester, jeune musicien et producteur, Holy Strays distille une musique à la fois puissante et intimiste, hantée par la percussion originelle. Ses fresques sonores en demi-teinte appellent à la communion, entre transe et contemplation.
En près de trois ans d’existence, Holy Strays a remixé Rejjie Snow, Forest Swords et Tristesse Contemporaine, partagé la scène avec SUUNS, Lapalux, Braids ou The Soft Moon...
Après trois maxis sur Not Not Fun, Morning Ritual et Atelier Ciseaux, puis un premier EP sur SIC Records l’an dernier, Forrester prépare actuellement son premier album.
Holy Two :
Holy Two est un duo aérien, un garçon et une fille, formé à Lyon début 2013. Elodie et Hadrien mêlent les genres musicaux avec aisance, de la pop à l’électro en passant par des sonorités new-wave dans l’utilisation de nappes de synthétiseurs et de riffs de guitares minimalistes, tout en reprenant dans chacun des styles les côtés qui les inspirent : beats hip hop, voix quasi-rap- pées par moments, harmonisées par d’autres.
Inigo Montoya :
Après avoir fait leurs armes dans Mungo Park, les deux franco-canadiens Quentin et Pierre se lancent dans un nouveau projet. Accompagnés du producteur Adrien Pallot (La Femme, Moodoïd, Grand Blanc) et de Louis Delorme, batteur de Blind Digital Citizen ils forment Inigo Montoya!. Derrière ce pseudonyme revanchard, des samples hallucinés, des mélodies hypnotiques et une sauvagerie psyché. Dans un premier temps, deux titres en anglais pour sceller définitivement l'héritage Mungo Park. Mais rapidement, le besoin de chanter en français pour dessiner un monde mythologique et universel à travers leur ville de Paris devient évident. Inigo Montoya! propose sur scène un univers visuel fort et personnel grâce à des projections colorées et géométriques.
Cordillera Dance.
Pour le peuple Mapuche du Chili, le Machi c'est le médecin et aussi le médiateur entre les hommes et les esprits ; une façon de communiquer : la trance
Mijotée dans la langue de Tito Puente, la disco sombre et langoureuse de Machi invoque les démons du dance floor à coups de synthés analogiques, de voix sous effets du cactus de Castañeda et de percussions fulminantes.
Maine Coon est un quatuor Parisien né d’une synthèse naturelle entre garçons d’horizons pourtant différents qui a accouché d’un premier EP, titré « Glowing Hide », à l’été 2014.
Depuis, un seul objectif les animent: transporter leur public en live ! Une section rythmique puissante dans la poitrine, assurée par Guillaume & Alex, véritables poumons des morceaux, porte les guitares saillantes de Pierre et les claviers de Mathieu.
Dans une alternance dosée de nervosité et de douceur, les lignes mélodiques s’entêtent, martèlent et respirent par des voix vaporeuses et cristallines. Le verbe de Maine Coon n’est que l’écho du monde, avec son cynisme et sa rédemption, entre-mêlé d’histoires personnelles.
Milan :
Duo formé il y a deux ans, MILAN se compose d'un batteur-producteur et d'un chanteur, qui s'accompagne parfois d'un mélodica lointain.
Tous deux relayés par des boucles hypnotiques, ils dispensent un rock minimal et nerveux au croisement d'influences diverses : du dub originel au post-punk en passant par les musiques électroniques contemporaines. Sur scène, cette formation épurée se veut animée d'une énergie sauvage et spontanée. Leur premier EP paraîtra le 10 Février via Fin de Siècle records.
Mr. Crock :
Après avoir sorti 2 EP auto-produits, Mr. Crock a su façonner une identité riche et musicale qu'ils font évoluer sur leurs nouvelles compositions, avec une production plus moderne.
Des Inrocks à France Inter, les médias soulignent cette authenticité et cette soif de découverte.
Un projet qui se veut donc original, où se mêlent 2 voix leads poussées par des chœurs et où les Moogs répondent à l'accordéon quand les guitares se font l'écho de sonorités plus electro.
Murmur :
Emilien Gery et Thomas Dubost-Martin forment le duo murmur dont le 1e EP est prévu pour le 17/03/2014. Après le succès de leur 1e titre Fire, ce duo sorti tout droit de l’univers rock (anciennement membres de Bates motel) offre une toute autre facette de leurs influences. Réalisé dans une optique de recherche de textures sonores, ce premier EP résolument minimal mélange avec finesse et originalité des mélodies mélancoliques sur une rythmique décomplexée et inspirée du trip-hop. Ces 4 titres composés de basses synthétisées et de guitares aériennes portent la voix cristalline d’Emilien. Les textes tant en anglais qu’en français traduisent des ressentis simples écrit en toute légèreté.
My Summer Bee :
" Une graine pop et sucrée, prête à éclater comme du maïs " - Les Inrocks
Après un premier EP fort d'un beau succès médiatique et des concerts remarqués avec Jungle, pour Nordik Impakt et aux dernières rencontres Transmusicales de Rennes, les My Summer Bee reprennent le chemin du studio pour finaliser leur nouveau projet prévu pour le printemps 2015. En avant première, ils nous dévoilent un de leurs nouveaux titres : Lover Lover.
N U I T :
Quatre lettres pour un groupe ténébreux, pour quatre musiciens, pour quatre morceaux d’un premier EP.
À la croisées de l’ électo et d’une pop sombre, sortie en mars 2014, « Enjoy The Night » est l’image du groupe.
Le Chant aérien contrebalance les rythmes puissants et déstructurés. Le son des claviers est sombre, les guitares lourdes et saturées.Façonnés par une production millimétrée, les titres rappellent à certains une époque d’Archive ou Portishead et parlent à d’autres amoureux de James Blake ou encore de Suuns. N U I T live avec cet EP les prémices d’un album à venir prometteur.
Pacific Shore :
Pacific Shore est un projet audiovisuel et un trio de musique moderne tintée d'un mélancolique soul-jazz.
En studio comme sur scène, machines, instruments, et voix consentent au trio un subtil métissage et démontre que la musique électronique peut être organique, chaleureuse et vivante. Sortie de leur nouvel EP prévue début 2015.
Ce jeune producteur électro parisien n'a pas 1000 ''LIKE'' sur Facebook mais déjà des articles chez les Inrocks, Magic et Pitchfork !
Si vous aimez Ten Walls et Mount Kimbie, la house dansante et mélancholique à la fois vous allez l'adorer comme nous.
Pavane :
La naissance de PAVANE il y a un an est la suite d’une pratique musicale débutée devant un piano, durant dix années de cours classiques. Prolongée ensuite par la découverte des musiques électroniques il y a dix ans. Dix ans de classique, dix ans d’électronique : 2014 était donc l’année parfaite pour réunir ces deux univers. Pour ce faire, l’artiste a souhaité ralentir le rythme, tout en le maintenant omniprésent, comme le fait cette danse de l’époque de la Renaissance : la pavane. Dans « L’Échappée », les mélodies sont prépondérantes, issues de samples picorés chez Debussy, Ravel, Fauré, Poulenc ou encore Sibelius. Ses airs sont la source d’inspiration mélodique du projet, dressant un pont entre notre époque et celle de ces compositeurs.
RIEN :
RIEN: 1999 - 2014
Ropoporose :
Ropoporose est un duo fraternel empruntant autant aux échappées pop qu’à la pesanteur noise. Faite de bric & de broc, leur musique est un miroir aux alouettes, réunion de deux esprits aimant à malmener doigts et chaussures sur des scènes jamais trop petites.
Leur premier album ELEPHANT LOVE est sorti le 26 Janvier 2015 chez Yotanka.
Rouge Congo :
Nostalgie d’un été passé , d’un soleil couchant filmé en super8.
Influencé par les sons de Human League , les synthés basses de Giorgio Moroder et les refrains planants de MGMT, ROUGE CONGO fait dans la Pop carte postale.
En à peine 1 an d’existence, après un premier EP sorti en janvier 2014 , les 4 rémois et leur Pop ultra mélodique sont remarqués par les Inrocks, figurent dans l’Année du Rock Français 2014-2015 , ouvrent pour Puggy ou Tahiti 80 et créent la surprise à l’Eco-Festival Cabaret Vert.
Un nouvel EP, gorgé de soleil, est prévu pour printemps 2015 , porté par le puissant, Sultans , hymne électro-pop aux sonorités 80s.
ST4LK :
« La lumière ne brille qu'en présence d'obscurité. » (Francis Bacon)
C'est bien là que vient se positionner le travail de Stalk, avec des compositions parfois douces ou sombres, le musicien se place à la frontière du coté obscure de la ville et de l'humain tout en conservant des flash salvateurs... Songe électro-épileptique et trip glacial, les guitares loopées à la Tim Hecker viennent se mêler à des sons électroniques penchant vers les terribles Burial ou Lorn, allant des rêveries de l'electronica en passant par les méandres du deep dubstep.Sur scène , entourés de lumières de différents types (barres de stroboscopes, néons, vidéo) le musicien fait entrer le spectateur dans son monde en noir et blanc dans un spectacle contemplatif et sensoriel.
Inspiré par des vagues R’n’B minimalistes autant que par des images violemment romantique, Teen Talk (Jérémy Barlozzo et Douglas Cavanna), duo aux accents électro, navigue nonchalamment dans le bas ventre avec des programmations percutantes aussi bien que dans les tympans caressés par des voix aériennes.
The Kitchies :
The Kitchies est un groupe de Jungle Pop niçois formé à Brighton en Septembre 2010.
Il se compose de Jonathan Lecoq (Chant, Guitare), Yannick Scardina (Batterie, Choeurs), Florent Gualandi (Basse, Clavier, Choeurs) et Arnaud Gualandi (Guitare, Choeurs).
Dans la lignée de groupes tels que Phoenix ou Foals, ils allient mélodies Pop entêtantes et rythmes Jungle entraînants. En 2012 ils suivent les Skip the Use sur 3 dates de leur tournée puis jouent sur plusieurs festivals en France et à l’étranger tels que le Rock the Pistes (Suisse, 2013), les Voix du Gaou et le Printemps de Bourges OFF (France, 2014), le Paris is Burning (UK, 2014) ou encore le Taubertal Festival (Allemagne, 2014).
Velvet Stairs :
Velvet Stairs est le projet solo de J.C. Villain, artiste parisien de 35 ans. Sa musique cinématographique et purement instrumentale rappelle l’athmosphère de Mogwaï ou boards of canada. Soucieux de lui apporter une cohérence globale, il a lui-même pris en charge la direction artistique du clip et de l’univers visuel de son projet.
Volage :
Eparpillés entre Paris, Tours et Le Blanc, dans le centre de la France, Paul, Thibault, Simon et Paul forment Volage à l’été 2011. Le groupe s’isole par intervalles dans un garage au Blanc et construit avec minutie une identité sonore faite de guitares fuzz, d’écho, d’harmonies vocales et de mélodies finement ciselées. Loin du cliché garage, Volage choisit de concilier l’immédiateté et l’énergie du style à la finesse et la légèreté de la pop.
Le Rock c'est une guitare, une batterie, un garage et se barrer de chez ses parents.
Les Vundabar prolongent l'histoire du teen spirit, celle punk et passionnée période Bleach. A peine 18 ans et déjà tout compris aux Pixies, Husker Du et le Weezer de Pinkerton, à la nonchalance les plaçant aux antipodes des groupes de reprises décalcomanies. Nous sommes loin de l'exercice des singes savants, ils ont simplement dû être projetés à la mauvaise époque, remercions ce bug de la Delorean.
Enregistré à la Sira, le premier EP de Wall/Eyed - A Quest (sortie le 12 novembre) - s'inspire de la mouvance Post-Psychédélique et du Bauhaus. On y retrouve, en Anglais comme en Français des textes évoquant des voyages intérieurs, enveloppés de reverb, de riffs et de rythmiques répétitives.