Neuvième album pour Groove Armada avec Edge of the Horizon, troquant les grosses rythmiques en faveur de créations d’ambiances et d’humeurs, transportant les auditeurs dans une dimension cool et funky, où de gros tubes passés comme “Superstylin’” ou “History” laissent la place à des paysages imaginaires nostalgiques et synthétiques.

Avec pléthore d’invités bien sentis, le duo anglais crée un monde sonore qui se fait une place entre Prince et Empire of the Sun.

Et je ne dis pas cela par hasard car Nick Littlemore d’Empire of the Sun fait plusieurs apparitions sur l’album, quasiment dix ans après avoir collaboré avec Groove Armada sur leur album de 2010 Black Light/White Light.
Et ses contributions dont “Get Out on the Dancefloor” aux accents très LCD sound System dans l’espace  et “Tripwire” sont les morceaux les plus enlevés de l’album Edge of the Horizon, avec d’autres morceaux forts comme  la funk 80’s de “Don’t Give Up” ou la brillance du morceaux “Talk Talk” qui bénéficie de la touche électronique intergalactique de James Alexander Bright.

D’autres invités révèlent cette nouvelle facette de Groove Armada également

Les fans de l’album Random Access Memories de Daft Punk et plus précisément de leur morceau “Fragments of Time” vont sûrement se délecter d’entendre Todd Edwards sur le morceau “Lover 4 Now” qui sonne comme comme “Everything She Wants” de Wham! À la sauce seventies.
Moins connus mais très talentueux aussi, She Keeps Bees, Paris Brightledge et Roseau sont aussi de la partie.  
Dans son ensemble, l’album Edge of the Horizon est un agréable voyage à travers le psychédélisme qui fait le pont avec une époque passée grâce à une production impeccable, et offrant une version adoucie et plus calme de la musique dansante de Groove Armada.

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