Il y a de ces albums qui n’ont besoin que de quelques secondes pour vous bouleverser. Qui n’ont besoin que de quelques secondes pour vous remettre en question, pour vous donner la chair de poule. Hospice fait parti de ceux-là.Tout commence par un « Epilogue » étrange et sombre qui vous fait frissonner… et là, votre estomac se serre, vos poils se dressent : « Kettering » arrive et vous accueille avec une voix tremblante et endeuillée. Celle de Peter Silberman, génie dramatique, torturé et hallucinant. S’en suivent des titres tels « Sylvia », « Bear » ou encore « Wake », qui vous tournent et vous retournent dans tous les sens, qui vous feraient presque pleurer.
Hospice est l’histoire d’un homme qui regarde l’être aimé, souffrant
d’un cancer, s’éteindre peu à peu. Une histoire difficile sur laquelle
sont posés des mots et des notes justes, sans faux pas. Il a fallu à
Peter Silberman deux ans loin de toute vie, loin de tout contact, pour
écrire ce magnifique album qui vous donne envie de pardonner,
d’avancer.
The Antlers , c’est Jeff Buckley, c’est Sufjan Stevens, mais puissance mille. C’est du mélodramatique qui vous atteint réellement. Qui vous bouffe sans que vous vous en rendiez compte.
51 minutes et 47 secondes de frissons, de malaise, de mal-être et de questions. A écouter sans que rien ne puisse rompre votre attention.
The Antlers , c’est Jeff Buckley, c’est Sufjan Stevens, mais puissance mille. C’est du mélodramatique qui vous atteint réellement. Qui vous bouffe sans que vous vous en rendiez compte.
51 minutes et 47 secondes de frissons, de malaise, de mal-être et de questions. A écouter sans que rien ne puisse rompre votre attention.
tracklist :
1. Epilogue
2. Kettering
3. Sylvia
4. Atrophy
5. Bear
6. Thirteen
7. Two
8. Shiva
9. Wake
10. Epilogue
1. Epilogue
2. Kettering
3. Sylvia
4. Atrophy
5. Bear
6. Thirteen
7. Two
8. Shiva
9. Wake
10. Epilogue
